Les étoiles noires
Hémisphère du soir
Aux horizons purpurins
Dans l’impasse des gorges
Deuil piqué d’étoiles noires
Au centre des galaxies
Et des miroirs placés à l’entrée des rêves de lassitude
Mort certaine et incertaine
Quand le temps s’arrête au bord de lui-même
Sur une planète abandonnée
Toupies nous tournons sur nous-mêmes
Pendus dans le vide béant
Nous ne nous nourrirons plus du sang des vierges
Quelques vieillards sans âge
Se dessèchent dans l’obscur trépas
Dès l’aube inattendue
J.B.
Hémisphère du soir
Aux horizons purpurins
Dans l’impasse des gorges
Deuil piqué d’étoiles noires
Au centre des galaxies
Et des miroirs placés à l’entrée des rêves de lassitude
Mort certaine et incertaine
Quand le temps s’arrête au bord de lui-même
Sur une planète abandonnée
Toupies nous tournons sur nous-mêmes
Pendus dans le vide béant
Nous ne nous nourrirons plus du sang des vierges
Quelques vieillards sans âge
Se dessèchent dans l’obscur trépas
Dès l’aube inattendue
J.B.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire