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Cinq haïkus de juin
Le temps s'efface
En l'espace du chemin
De la patience
L'homme s'allonge
Sous une pierre froide
Et croise les doigts
Le sable coule Entre les palmesBlanc comme l'été
Un pin parasolFait le rond dos au soleilLe pêcheur s'assiedQuand les pins d'Alep
Se penchent sur l'étendueLes barques glissentCinq cyprès en bord
De mer montrent l'infini
Du bout de leurs doigts
1 commentaire:
De jolis mots et ses photos qui parlent des vacances très proches!
Belle journée, Jean.
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