mardi 17 juillet 2012

Des haïkus par la fenêtre

Mont de l'hôpital
Jolimont qui voit au loin
Tourner des pâles rondes

Les neufs Eoliennes
D'Estinnes broyent du noir
Dans le froid brouillard

(lol- haîkus libres)
Les révolutions
De l'Eolienne sont contraires
A celles  du passe-vite

C'est pourquoi
Elles ne produisent pas
La même soupe

Une  escadrille
De pigeons dans l'air se sauve
Au dessus des toits

2 commentaires:

Rêveuse bleue a dit…

Jolis temps qui tournent et brassent des mots en arrière des pensées...

jean.botquin a dit…

Merci rêveuse bleue...rêvons ensemble